Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui, afin qu’au moment où il sera manifesté, nous ayons de l’assurance, et qu’à son avènement, nous n’ayons pas honte devant lui. – 1 Jean 2.28
Dans ce verset, Jean y va d’un parallélisme synonymique. Les deux propositions « au moment où il sera manifesté, nous ayons de l’assurance », et « à son avènement, nous n’ayons pas honte devant lui » véhiculent la même idée.
Nous devons vivre la vie présente dans cette perspective du glorieux retour de Jésus-Christ. Lors de son retour, le Seigneur jugera tous les humains, et nous, les chrétiens, entrerons dans le tout des promesses de l’alliance.
Ce retour marquera donc la fin de toute pratique du péché et la séparation définitive et absolue des réprouvés et des élus.
Jean affirme l’importance de demeurer en lui présentement afin qu’à ce moment-là, nous ayons de l’assurance et que nous n’ayons pas honte. Nombre de chrétiens traversent des périodes de doutes profonds quant à leur salut. Nous devons savoir que Dieu veut que l’on ait de l’assurance (1 Jean 5.13). Notre Père céleste ne veut pas que nous restions sur nos doutes quant à notre salut. Sans cette assurance, nous n’aurions pas de repos en lui.
Il est important de ne pas chercher notre assurance dans nos émotions, sur le ressenti. Notre assurance doit reposer sur des faits. La question à se poser est de savoir si je demeure en lui. Est-ce que je vis pour Jésus-Christ ? Est-ce que je place ma confiance en Jésus-Christ ? Est-ce que je recherche la sanctification ? Est-ce que je marche dans la lumière ou dans les ténèbres ? Est-ce que la vie de l’Esprit est réelle en moi ?
C’est l’application du principe de reconnaître l’arbre à ses fruits.
Frères et sœurs. Il est important pour nous de s’examiner pour voir si nous sommes dans la foi. Si tu as des doutes sur ton salut, ne place pas ta foi dans ta foi mais en Jésus-Christ seul. Il a tout accompli.
Seigneur Dieu. Je reconnais que c’est par toi seul que je peux demeurer en toi. Nous attendons le retour glorieux de Jésus-Christ. Donne-nous de vivre cette attente dans la consécration.